La capitulation d'Anvil

Lorsque le champ de force s'écroula, une bouffée d'adrénaline renouvela l'énergie du Roi Auguste et celui-ci raffermit la grippe sur son lourd marteau de guerre. Bouclier magique à la main, il se retourna vers les intrus qui venaient de franchir l'embrasure de la porte.

Il frappa de son arme le lourd bouclier magique avant de pointer son marteau vers Dorian, tout en lâchant un cri de guerre. Il balaya la salle du regard afin d'identifier lequel des ennemies il devrait s'assurer de maîtriser en premier.

La salle carrée d'une superficie quand même grande était un vrai champ de bataille. Plusieurs des boucliers sur les murs étaient tombé, la pierre constituant les murs même était craquées en de multiple endroits et la boule de cristal du millieu de la salle n'était plus dans un état utilisable. Plus son regard scrutait l'état de la pièce, moins son cri de guerre ne semblait sincère. Le cri qui était quelque seconde plus tôt un torrent de testostérone promettant la mort à quiconque se dressait sur son chemin n'était maintenant que la lamentation d'un homme qui avait déjà perdu. Ce n'était pas l'état de la pièce en soit qui lui fit perdre sa motivation et son courage, mais plutôt l'état de ses sujets dans ladite pièce...

Chaque fois que ses yeux balayaient l'endroit où se tenait ou gisait l'un de ses superversor, le Roi perdait un peu de son ardeur. Plusieurs morts, d'autres inconscient, le reste gravement blessé. Il regarda ses sujets, tous aux portes de la mort...

*Aucune chance de gagner cela... Essayer de se battre et mourir honorablement ne servirait qu'à sacrifier la vie de ses pauvres hommes inutilement... Peut-être qu'en se rendant il ne tueront que moi.*

La réflection que venait d'avoir le roi pouvait clairement se lire sur son visage puisque ses adversaires semblèrent se détendre légèrement. Le combat était fini avant même qu'il ne puisse porter un seul coup. La voix du roi perça le champ de bataille et se fit entendre de tous.

- Enough!

Cette déclaration fut immédiatement suivie de l'interruption des altercations et de deux lourds bruits de fracassement. Le marteau et le bouclier d'Auguste tombèrent au sol, dans un vacarne fit vibrer légèrement la pierre. Le roi mit un genou au sol, baissa légèrement la tête et repris la parole d'un ton vaincu.

- I surrender. WE surrender. Men, lay down your weapons!

Le roi remonta lentement les yeux et regarda le groupe se tenant devant lui.

- Please, spare my men. Tell me, what is it you want? What will it take for you to spare these brave souls?

Dorian s'engagea dans la piece qui avait, à coup sûr, vu de meilleurs jours. Il evalua du regards la piece et ses occupants. Il aurait préférer garder en vie une plus grande proportion des effectifs magic de la ville, après tout, une main d'oeuvre qualifié reste toujours plus dur a pourvoir.

Une fois rendu près de la table, Dorian attrapa l'une des nombreuses chaises éparpillées au sol des suites du combat qui venait tout juste d'avoir lieu. Il s'assit nonchalament en appuyant les pieds sur la table.

- Je suis ravie de voir que vous semblez comprendre la situation dans laquelle vous vous trouvez.

- Vous aurez compris que ma personne et l'organisation que je représente n'attend rien de moins de votre pars que la redition complète et sans condition de votre cité.

- Comme première action que vous pourez entreprendre, il serait apprécié que vous mettiez fin a l'alarme qui est toujours effective. Par la suite je voudrais avoir le chateau en lock down pour, au minimum, les 24 prochaine heure.

- La version officiel de tout ce... dérangement, seras le roulement d'un exercice afin de tester les défences.

- Nous prendront en charge de nettoyer les dégâts autant matériel que personnels.

Dorian se retourna alors et fit signe a Albedo de s'approcher. Il lui chuchota ensuite a l'oreille de prendre les dispositions nécéssaires sur les invités spéciaux toujours inconscient dans les sous-sol du chateau.

Le roi Auguste, toujours un genoux au sol, vit l'homme qui semblait être le chef des assaillant s'installé à la table de la même façon que quelqu'un s'intallerait dans un salon à l'abbris du regard des autres. Complètement lancé vers l'arrière, les bottes salles reposant sur la table de guerre... Aucun stress ou aucune peut ne pouvait se lire sur le visage de l'homme qui se tenait devant lui. Alors qu'Auguste allait reprendre la parole, Dorian le coupa.

- Je suis ravie de voir que vous semblez comprendre la situation dans laquelle vous vous trouvez.

Le roi se redressa lentement et vint s'asseoir de l'autre côté de la table, satisfait que son interlocteur semble vouloir envisager négocier au lieu de les massacrer. Négocier n'était probablement pas le bon terme, pensa Auguste, puisqu'il n'aurait pas vraimemt le choix d'accepter ce que Dorian proposerait...

- Vous aurez compris que ma personne et l'organisation que je représente n'attend rien de moins de votre pars que la redition complète et sans condition de votre cité.

*Une organisation? leur équipement sont complètemetn disparatre et aucun d'eux n'arbore de symbole spécial ou de banière... il doit s'agir d'un organisation secrete...*

Tout en réfléchissant, le Roi acquiessa lorsque Dorian lui mentionna redition complète. C'était la seule chose qu'il pouvait faire pour sauver son peuple. Vaut mieux que l'histoire se rapelle de lui comme un Roi vaincu que comme le Roi ayant apporter l'annihilation totale d'Anvil... Il s'attendait bien sur à se faire executer et remplacer par un membre de leur organisation, mais au moins son peuple survivrait...

- Comme première action que vous pourez entreprendre, il serait apprécié que vous mettiez fin a l'alarme qui est toujours effective. Par la suite je voudrais avoir le chateau en lock down pour, au minimum, les 24 prochaine heure.

Le Roi regarda l'un des Supervisor toujours en vie et lui fit un signe de tête. Celui-ci se mit à invoquer brèvement. L'alarme qui, juqu'à présent, retentissait à travers les couloirs du château se tut subitement. Le mage fit un deuxième invoquation que Dorian Albedo et Memelin déchifrère facilement. Il s'agissait de l'activation d'un mur de force préétablie.

- Le chateau est maintenant en lock down... Personne ne peut entrer et personne ne peut sortir.

- La version officiel de tout ce... dérangement, seras le roulement d'un exercice afin de tester les défences. Nous prendront en charge de nettoyer les dégâts autant matériel que personnels.

Auguste était confus. N'allait-il pas se faire exécuté? Si oui pourquoi mentir sur ce qui venait de se passé? Si non, comment est-ce que l'organisation en question ferait pour s'assurer de contrôler la ville? Resterait-il au pouvoir avec comme conseiller l'un des membres de l'organisation? Si cela était le cas, qu'est-ce qui l'empêcherait de rassembler ses forces et trahir l'organisation? Les questions se bousculait les unes après les autres dans la tête du Roi durant quelque secondes, puis celui-ci répondit.

- Très bien, ce sera fait. Qu'allez vous faire avec les gens se trouvant dans cette pièce et le reste du chateau, connaissant la vérité de ce qui s'est passé?

Le Roi regarda un nouvelle fois l'état de ses compatriotes, en attendant que Dorian ne termine de discuter à voix basse avec Albedo.

Lorsque que Dorian, lui chuchota de prendre les dispositions nécessaires sur les invités spéciaux de la cité impériale. Albedo hocha la tête pour lui confirmer qu'elle avait bien comprise. Avant de tourner les talons, elle esquissa un sourire en coin, pointa le Roi du mentons et chuchota quelque mot à Dorian.

- J'ai lu brièvement ses pensées... Il pense déjà à vous trahir si l'occasion se présente dans le futur...

Elle fit un clin d'oeil à Dorian en tournant les talons avant d'ajouter mentalement les quelques mots suivants.

*- Essaie de ne pas le tuer avant que je revienne je détesterais manquer la partie intéressante...*

La succube suivie par le crystal psy du chef vampire, disparu dans le cadrage de la porte.

Dorian reporta sont attention sur la rencontre principal. Quel serait la meilleur marche à suivre se demandait-t-il? Il était important de prendre en considération tout les risques inhérant à la situation actuel. Comme par exemple, il serait mal avisé de prendre le control en transformant le roi en vampire, puisqu'en se rapprochant de la cité impérial, les risques qu'il soit démasqué comme serviteur des morts, était beaucoup trop élevé.

Une action qui pouvait être prise était de transformer tout ou en partie les gardes utilisateur de magie.En s'adressant au roi Dorian proclama d'un ton autoritaire:

-Rassemblez tout les utilisateurs de magie membre de la garde dans la salle du trône

Dorian se leva et pris la direction de la salle du trône. Une fois dans l'embrasure de la porte il se retourna.

- Si j'étais vous je ne tarderais pas trop.

Le roi s'indigna légèrement du manque de réponse à sa question de son interlocuteur. Il n'était cependant pas en mesure de réellement négocier. Lorsque Dorian lui conseilla fortement de ne pas tarder à suivre ses indications, il put sentir la menace que contenait la voix de ce dernier. Dès qu'il eut quitter la pièce, Dorian put entendre le roi donner l'instruction à l'un des mages qui était à ses côtés.

Il arriva dans la salle du trone. La salle était massive, Le trône, en fer solide prédoominait sur l'endroit en étant légèrement surlevé. Petit à petit des hommes et des femmes arrivèrent dans le hall de fer. Certain blesser de la battaille, d'autre confu et n'étant pas au courant de ce qui se passait...

Les arrivés de pratiquant de la magie continuèrent durant quelque minute avant que le roi lui même n'entre dans la pièce avec le dernier des mages. Du moin, c'est ce que Dorian déduisit étant donné que la porte était maintenant fermée. La salle contenait environ une trentaine de pratiquant de la magie. Le roi lacha un cri millitaire et les hommes et femmes présentent se déplacèrent et se mirent au garde à vue.

- Voici tout les pratiquant de la magie membre de la garde.

Il pointa vers la gauche de la salle.

- Dès plus bas gradés...

Il amena son doi tendut vers la droite de la salle

-... Au plus haut gradé.

Le roi arrêta de parler, fixant Dorian, attendant la suite.

Dorian évalua du regard les… spécimen présent devant lui. Certain était visiblement confus, n’ayant pas participé au carnage ayant eu lieu plus tôt. Dorian pris un moment pour apprécier la situation actuelle, le silence de la salle, le pouvoir au bout des doigts. Un simple ordre pouvait sceller l’existence de ceux présent.

Dorian prit la parole d’une voix forte :

-Que ceux qui recherche le pouvoir prennent un pas !

La ligne de praticant de la magie que formait les membres de la garde d'Anvil était parfaitement aligné. Il était clair que la ville était heutement millitaire. De l'imcompréhension pouvait se lire sur le visage de plusieurs personnes présentes, mais nul n'osait rempre le silence qui prédominait la salle. Ils restèrent un moment comme cela, au garde à vue, à attendre un ordre de leur chef. Certains ragradaient droit devant alors que d'autres lançaient des regards intérogateur au groupe qui accompagnait le roi.

C'est alors qu'une voix forte et impérative perça le silence en question. Il ne s'agissait cependant pas de celle du Roi, mais bien celle de l'homme se trouvant à ses côtés.

-Que ceux qui recherche le pouvoir prennent un pas !

Suivant cette déclaration, personne ne bougea. Chacun des pratiquant de la magie inspectait leur semblable hésitant à être le premier à faire le pas. Hésitant à être vue comme étant plus ambitieux que le poste qu'ils occupent présentement, considérant que le Rois pourrait voir cela comme un danger. La salle restat immobile quelque seconde avant que l'un des pratiquant, un humain qui devait être à la mi-trentaine et qui arborait une barbe brune mi-longue bien taillé, fasse un pas ne avant en prenant la parole avec un fort accent nordique. Un homme que Dorian ne reconnut pas de la bataille. Un homme qui se trouvait sur la droite de la pièce, parmis les hauts gradés.

- Je ne me mentirai pas à moi même. Le pouvoir est la raison que je suis allé au collège de Bruma, la raison que j'ai appris l'art de la magie arcane ainsi que la raison pour laquelle j'ai entreprit de gravir les échellons de l'un des plus puissante armée de ce monde.

L'homme en question regarda ses semblables, se demandant s'il serait le seul à faire le pas, le seul à avouer ce que la majorité devait penser. il se retourna ensuite vers Dorian qui venait de parler et le regarda droit dans les yeux, attendant avec impatience les prochains mots du chef de l'Ordre. Sa curiosité était définitivement piqué.

Dans les quelques secondes qui suivèrent cette intéraction, un autre pratiquant fit le pas. Puis deux autres. Puis cinq. Quelques secondes plus tard et 22 des 28 pratiquant de la magie avait fait un pas en avant. Certain semblaient réticents, d'autres méfiants, alors que plusieurs semblaient curieux.

Graduellement, le bruit du mouvement des gardes s'estompa pour que le même silence qui régnait précédemment se réinstalle. Un silence d'anticipation... Un silence de curiosité... Un silence qui donnait un sentiment de puissance à celui qui le controllait ultimement: Dorian.

Dorian siroptais ce qui semblais être une coupe de vin,  bien installé dans un fauteuil de la blibliothèque du château d'Anvil. Le climat tempéré, typique des citées côtière, agrémentait parfaitement la soiré. Pour lui tenir compagnie, assis sur un fauteuil du coin oposé, le roi d'Anvil toujours en fonction, visiblement veillit par les évènements récents.

Il s'était déjà écoulé plusieurs jours depuis la prise de la ville, toujours inconsciente des évènements tragiques s'étant déroulés au château. Les superviseurs envoyés en ''rééducation'' devrais être de retour d'un moment à l'autre. Une fois en fonction, ils assureront un control plus que suffisant sur la ville et pourront garder à l'oeil le roi qui, Dorian le savait, chercherait un moyen de reprendre le control.

- J'ose espéré que vous êtes conscient que vos plan de trahison sont aussi claire que le jour. Pour être franc ce n'est guère surprenant. Je voulais cependant mettre un point au claire! A n'importe quel moment, ma personne, ou l'un de mes associés, étaient en mesure d'anéantir votre fragile conscience humaine.